Pourquoi la Corée du Sud domine-t-elle toujours la Chine ? Les secrets du « Konghanzheng » et la nouvelle ère de Hong Myung-bo

Le mythe du « Konghanzheng » : Pourquoi la Chine redoute la Corée ?
Saviez-vous que le terme « Konghanzheng » désigne le complexe d’infériorité de la Chine face à la Corée du Sud au football ? Avec un bilan de 24 victoires, 13 nuls et seulement 2 défaites après le match du 7 juillet 2025, la Corée domine psychologiquement et tactiquement son rival. Sur Naver, Daum et DC Inside, ce phénomène est analysé comme une partie de l’identité nationale, tandis que les fans chinois oscillent entre résignation et espoir renouvelé chaque année.
Hong Myung-bo : Le stratège qui réinvente la Corée

Hong Myung-bo, légende nationale et sélectionneur, a misé sur un savant mélange de vétérans et de jeunes talents pour l’EAFF E-1. Son approche tactique, alternant défense à trois ou quatre, et son leadership calme ont revitalisé la sélection. Face à la Chine, son plan offensif et la pression haute ont été décisifs. Les blogs sur Naver et Tistory louent sa gestion du renouvellement générationnel sans perte de compétitivité.
Joo Min-kyu : L’attaquant qui défie l’âge
À 35 ans, Joo Min-kyu reste décisif. Son but de la tête à la 21e minute a été célébré comme un exemple de persévérance et de professionnalisme. Les fans coréens le comparent à des vétérans européens toujours performants. Sur DC Inside et FM Korea, on salue son humilité et son rôle de mentor auprès des jeunes attaquants.
Lee Dong-gyeong et Moon Seon-min : Jeunesse et vitesse au service de l’équipe
Lee Dong-gyeong a ouvert le score d’un superbe tir du gauche à la 8e minute, tandis que Moon Seon-min a multiplié les débordements, créant le danger et des passes décisives. Tous deux incarnent la nouvelle vague du football coréen : techniques, rapides et audacieux. Les commentaires sur Naver soulignent leur alchimie et leur potentiel pour devenir des piliers lors des prochains tournois internationaux.
Réactions communautaires : Entre euphorie et autocritique
Sur Naver, plus de 70 % des commentaires après la victoire étaient positifs, saluant le jeu offensif et la solidité défensive. Sur Daum et PGR21, le faible taux de remplissage du stade (seulement 4 426 spectateurs) a été débattu, mais l’enthousiasme pour la Coupe du Monde 2026 reste fort. Sur DC Inside, les mèmes sur le « Konghanzheng » et les plaisanteries envers la Chine ont fait le buzz, tandis que certains appellent à ne pas tomber dans la complaisance.
Le cas Jeon Jin-woo : Adaptation face à l’imprévu
Tout n’a pas été parfait pour la Corée. Jeon Jin-woo, l’un des espoirs de la K League, a dû quitter la sélection à cause de vertiges et a été remplacé par Jung Seung-won. Sur Tistory, les fans ont exprimé leur inquiétude pour sa santé, tout en saluant la profondeur de l’effectif et la réaction rapide du staff technique.
Contexte culturel : Plus qu’un match, une question de fierté nationale
Le duel Corée-Chine va au-delà du sport. Pour les Coréens, chaque victoire réaffirme leur identité et leur histoire commune avec la Chine. Le « Konghanzheng » est devenu un mème et un symbole culturel, visible dans les chants, les banderoles et même la pop culture. Pour les fans étrangers, comprendre ce contexte est essentiel pour saisir l’intensité et la signification de ces affrontements.
Analyse tactique : Supériorité sur tous les plans
La Corée a dominé grâce à une pression haute, des transitions rapides et un usage intelligent des ailes. Le trio Joo Min-kyu, Lee Dong-gyeong et Moon Seon-min a multiplié les occasions, tandis que le milieu, mené par Kim Jin-gyu et Park Jin-seop, a contrôlé le rythme. La défense n’a laissé aucun tir cadré à la Chine. Les analystes sur Naver et Tistory saluent la cohésion et la polyvalence tactique de l’équipe.
L’expérience du stade : Passion, mèmes et une base de fans fidèle
Malgré une affluence réduite, les supporters présents ont animé le stade avec des chants créatifs et des banderoles sur le « Konghanzheng ». Sur les réseaux sociaux, les hashtags #공한증 et #대한민국 étaient en tendance. Pour les fans étrangers, assister à un Corée-Chine est une fenêtre sur la passion et l’humour uniques du football coréen.
Prochains défis : Vers le titre et la Coupe du Monde
Après cette victoire, la Corée se prépare à affronter Hong Kong et le Japon. L’alliance d’expérience et de jeunesse, sous la direction de Hong Myung-bo, fait monter les attentes. Sur les blogs et dans les médias, on spécule sur d’éventuels ajustements tactiques et la lutte pour le titre EAFF E-1, avec la Coupe du Monde 2026 en ligne de mire.
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